Le travail n'a pas de prix:
Affaire de valeur...
Donner un prix à son travail
c'est s'exposer à l'esclavagisme.
C'est ne reconnaître à son action aucune limite :
C'est accepter de faire n'importe quoi pour du papier.
C'est compromettre sa conception du Bien.
C'est s'octroyer un pouvoir aveugle et inconscient sur les ressources de la Terre.
C'est se soumettre au pouvoir des "riches"...
C'est, par le capitalisme ambiant, augmenter les inégalités.
C'est soutenir le poids des lobbies dans les débats fondamentaux sur ce qui conditionne l'avenir de l'Homme: La santé, l'agriculture...
C'est accepter le jetable, accepter l'obsolescence programmée: C'est polluer.
C'est soutenir les créations de "besoins" qui épuisent les ressources tout comme ils exténuent à la tâche.
C'est exclure du système et montrer du doigt les handicapés.
C'est le cynisme de la domination.
C'est conditionner le soin que l'on porte naturellement à son prochain à son paiement.
C'est l'hyperactivité qui empêche le recul, la méditation et qui fatigue.
Loin de sanctifier le travail, c'est sacraliser l'argent.
C'est la prolifération de lois et de procédures en tous genres...
C'est la masturbation subjective, administrative et professionnelle.
C'est l'idiotie de l'action.
Enfin, c'est comme prendre l'Homme pour un con:
C'est la négation de sa bonté naturelle.
Vivent l'Allocation Universelle
et l'Occupation Intelligente et Bienfaisante; gratuite...