16 janvier 2009
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Au quotidien, je traque l’économie d’énergie dans tous les coins et dans la mesure de ce qui m’est permis : J’éteins les lumières, les chauffages, j’économise l’eau et surtout l’eau chaude…
Nombreux, parents, amis, collègues, voisins, me le reprochent : « Nous pouvons nous le payer. » J’ai beau les raisonner, certains se dresseraient pour défendre la consommation et le gaspillage.
Mon idéal économique, politique, philosophique et cetera, entre en contradiction avec le Keynésianisme, globalement admis.
Dans la société dans laquelle je vis, la prise de conscience collective, à l’image de la sécurité routière, passe par des mesures naturellement autoritaires.
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