Il y a à peine un an, Nicolas SARKOZY s'avouait incapable de prédire l'augmentation du prix du pétrole. Pourtant c'est une lapalissade quand on a conscience de la limite de ces réserves: Il est monté jusqu'à près de 140$ le baril. Puis, pour ne pas perdre la face, notre « élu » a corrigé: Ce prix monterait irrémédiablement jusqu'à 200€. Contre toute attente, avec la crise, il est redescendu à près de 40$. Et maintenant!... Quelles sont les convictions de notre Président vis à vis de cette ressource?
En ce qui me concerne, j'affirme sans aucun mysticisme, que le prix du pétrole va augmenter dans des proportions bien plus importantes dans les deux ou trois décennies à venir simplement parce que l'on sait que ces réserves arrivent à épuisement.
Rationnellement, le « remède à la crise » qui consiste à relancer des industries largement dépendantes du coût de l'énergie, comme l'automobile, ne résoudra pas la chute des financements puisqu'on aura moins de matière première à transformer, à détruire et ou à consommer.
Alors, on n'aura pas purger nos obligations. Ces entreprises auront disparu. Nos responsables politiques auront fini de nous bercer avec ces illusions.
Dans un contexte forcément, naturellement et fortement ralenti, comment nous « dédommager » de cette erreur grotesque et de ses séquelles?