Parti Dit Zident

La Vie : Essence et raison dans l’organisation de la société humaine

C’est la Vie!... L'agroalimentaire et la santé contribuent à perpétuer la Vie. Ils soulèvent des questions dont les réponses me paraissent buter sur des oppositions de groupes de pression, politiques, religieux, commerciaux,…

           A titre d'illustration j'ai observé ce qui suit:

-         Dans l'agriculture et l'industrie pharmaceutique, plusieurs systèmes existent, parfois se complètent, parfois se confrontent... 

-         Les sciences, avec leurs lots de « progrès », apportent aussi leurs lots d'abus, soutenus par la recherche d'un profit, d’un pouvoir, comme il est globalement convenu actuellement...

-         En contrepartie, des techniques ancestrales me semblent inspirer des solutions aux problèmes à venir de l’alimentation et de la médecine, repensant la nature du « progrès »…

    Hors, aujourd’hui, les Nations du monde s’unissent autour du « développement durable », avec ses trois piliers : L’économique, le social et l’environnemental. Que convient-il d'encourager quand la récompense « économique » pousse l'homme à agir, alors que les économies, notamment celles d’énergies et d’autres ressources terrestres, paraissent salutaires?

        Dans cette configuration, j’anticipe une évolution de l’organisation de la société humaine vers:

-         Une formalisation de l’Autorité Universelle, reflet de ce qui s’impose partout et de tout temps

-         Une monnaie universelle exclusivement indexée sur les biens naturels et dont le volume varie avec leurs renouvellements

-         Une banque Universelle pour percevoir les montants des biens prélevés à la Nature et pour distribuer l’allocation universelle

-         L’allocation universelle, part des biens naturels renouvelés, égale pour tous, portant l’Esprit à l’Intelligence, à Bien agir, pour « l’Eternité», l’Universalité et, enfin, la Vie…

     La Vie… Si, essence de l’animation des êtres, elle s’exprime parfois dans les compétitions et les conflits d’intérêts, ne constitue-t-elle pas aussi une raison cohésive dans l’organisation des sociétés, notamment de la société humaine ?